Le sénateur
de la Nièvre est victime d'un attentat rue de l'Observatoire à Paris. Alors qu'il rentrait à son
domicile, sa 403 est prise
pour cible par des tireurs armés de pistolets mitrailleurs. François Mitterrand,
qui avait eu le temps de sauter de sa voiture,
ressort indemne de cet attentat. Le lendemain
l'événement fera la une de tous les journaux. Mais trois jours plus tard, l'un
des tireurs, Robert Pesquet, passe aux aveux et affirme avoir été mandaté par Mitterrand
lui-même. Le "faux attentat" était, pour le
futur président
de la République, une manière de regagner les faveurs de l'opinion
publique. Ecroué, Mitterrand
bénéficiera d'un non-lieu.
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