Les négociations entamées le 25 mai entre le gouvernement, le patronat
et les syndicats, aboutissent aux accords signés au ministère des Affaires
sociales, rue de grenelle. Ils prévoient l'augmentation du SMIG (salaire
minimum) de 25%, des salaires de 10% et la réduction du temps de travail. Mais
ces concessions ne satisfont pas la base ouvrière et la grève continue. C'est
l'impasse, la crise sociale de mai 68 débouche alors sur une crise politique.
Le 30 mai, De Gaulle annoncera la dissolution de l'Assemblée et reprendra le
pays en main.
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