Les bombes explosent dans
plusieurs gares de la capitale espagnole. On dénombre 191 victimes et 1500
blessés. D’abord attribué au groupe indépendantiste basque ETA par le
gouvernement Aznar, cet attentat sera en fait imputé au terrorisme islamiste.
Trois jours plus tard, lors des élections législatives, les espagnols ne
pardonnent pas à leur gouvernement d’avoir menti et élisent José Luis Zapatero,
le chef de l’opposition socialiste.
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