Sous l’impulsion du ministre de l'Intérieur René Waldeck-Rousseau, les
députés votent une loi qui s’inscrit dans une dynamique de réglementation du
travail et de la prise en compte des intérêts ouvriers. Ainsi, le Parlement
Républicain instaure une certaine liberté syndicale et d’association
professionnelle. La loi Le Chapelier s’efface donc devant une volonté d’asseoir
les libertés républicaines.
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